@Giuseppe di Bella di Santa Sofia
Intéressant
au
demeurant
ce complexe de victimisation.
Quand
vous désignez comme alter ego et
compagnon de misère, l’auteur
le plus prolifique du site (qui y
a
son rond
de serviette tous les jours) et par ailleurs absolu thuriféraire du
Mozart de la diplomatie qui vient d’avoir l’impudence de
qualifier les dirigeants de Haïti de « complètement
cons »,
en
dépit d’une
indéniable responsabilité historique de la France, avez-vous
conscience de vous comparer
à une pure cellule de propagande ?
Pour
revenir à mon intervention antérieure, le fait que l’enquête
commanditée par le CRIF souligne l’inquiétude des français face
aux manifestations d’antisémitisme ne confirme
en rien la validité d’un recouvrement total des définitions
d’antisionisme et d’antisémitisme. Comme
vous le précisez, c’est une opinion qui voudrait néanmoins
se
transformer en
force de loi sur le territoire français. On pourrait aussi
raisonnablement penser que le soutien sans
nuance apporté
par le chef d’état aux modalités
des actions de guerre n’épargnant pas les civils suscite un rejet
logique dans une partie de la population, amplifié par son
impopularité (encore une victime !).
Les
commentateurs autorisés (dixit Coluche) qui parlent d’importation
du conflit, pourraient
aussi parler d’importation d’une dérive autoritaire et
orwellienne d’un régime à la démocratie chancelante.