À Chichile,
« Chacun a la possibilité de réparer ses erreurs, et que nous avons tous le droit au pardon ».
Je suis tout à fait d’accord avec vous, je crois aussi au pardon.
Mais l’ennui, avec Kurt Waldheim, c’est qu’il n’avait émis, de son vivant, aucun regret sur son passé ombrageux.
Je tempère cependant mes propos, puisque je viens d’apprendre ce 15 juin 2007 que dans un testament, il avait d’exprimé des regrets, posthumes donc.
Regrets que je n’ai pas entendus, à ma connaissance, de la part de Maurice Papon.
Cordialement.
PS : Il ne vous a pas échappé, en lisant l’introduction, qu’il ne s’agissait pas d’une coquille.