@christophe nicolas
Je continue.
Les penseurs philosophes écrivains ont toujours été des solitaires derrière leur portes bien fermées.
Cela me dérange quand mon épouse intervient quand je suis occupé à mettre au propre une idée en la tournant dans tous les sens pour qu’elle ait une certaine gueule.
Le spleen, cet état affectif, plus ou moins durable, de mélancolie sans cause apparente et pouvant aller de l’ennui, la tristesse vague au dégoût de l’existence.
.n’est pas récent non plus. Baudelaire a versé dans ce spleen qui s’est déchargé en cherchant un fautif en désignant son spleen dans un pamphlet « Pauvre Belgique » parce qu’il n’y avait pas trouvé le succès qu’il espérait.
Un chercheur perdu dans ses pensées, ne connait pas véritablement ce spleen.
Je vous répliquerez peut-être par cette phrase qui correspond à l’actualité "Des chercheurs qui cherchent, on en trouve ; des chercheurs qui trouvent, on en cherche » : la phrase que de Gaulle n’aurait jamais dite...