@JPCiron
Ce que vous développez sur les trois sionismes politiques peut s’apparenter à une guerre de dogmes ; d’abord le sionisme juif qui a été projeté sur la scène du monde par un concours historique qui l’a servi . En clair, il devait s’arracher à la non-existence dans le sens sortir de l’ « errance » de 2000 ans.
Ce qui s’est opéré un peu comme un Pardon de Dieu.
Vous dîtes : "L’objectif du Sionisme Chrétien n’est
pas encore atteint : il s’agit ’’d’aider Dieu’’ à anticiper le seconde
venue du Christ, qui, selon les prophéties, sera précédée du
repeuplement Juif de la Terre Promise, et de grandes guerres dans
lesquelles il faudra s’engager. D’où leur soutien économique, politique,
diplomatique, etc etc inconditionnel au néo-Sionisme Juif. Ce Sionisme
Chrétien est clairement antisémite par destination (pour eux, c’est un
moyen de contraindre les Juifs à se convertir au Christianisme, ou de
finir en Enfer, au moment de la fin des temps.)«
Non, c’est là une vue de l’esprit du Sionisme Chrétien qui se croient plus royalistes que le roi. Non, c’est Dieu qui les laisse dans leurs élucubrations prophétiques.
Non, les êtres humains, sur plan divin et forcément biblique puisque la Bible ou tout texte religieux sacré est considéré comme des Messages de Dieu aux humains.
Et donc dire »Aider Dieu" ou attendre la venue d’un Messie ne relève que d’idées de religieux qui se fourvoient et l’Esprit de Dieu n’éclairent pas ; Dieu les laisse dans l’obscurité.
Et, en religion, il n’y a pas de contraintes ; la croyance vient de Dieu ; les êtres humains ne croient pas par eux-mêmes ; ils croient par ce que leurs pensées leur inspirent. Et Dieu laisse les humains selon ce qu’ils sont en tant qu’êtres crées, et selon ce qu’ils sont en êtres tels qu’ils sont décrétés.
Et c’est la raison pour laquelle le plus souvent, ils ne s’entendent pas, et il y a des conflits st même des guerres. Et c’est là le sens même de l’existence de l’humanité.
Sans les frictions interhumaines, il n’y a pas possibilité d’un existence humaine ; mais Dieu est toujours présent en eux, et Dieu reste toujours le dernier recours dans l’orientation de chaque être humain, de chaque peuple sur terre.