Et vous, pour un juriste, vous semblez faire peu de cas de la vérité des faits. L’expression « Ségolène tient une grenade dégoupillée dans la main » est, selon toute vraisemblance, une métaphore employée par Julien Dray et non la description de la réalité. Votre article laisse planer le doute délibérément. Je le dis d’autant plus que je n’ai jamais défendu Ségolène Royal mais là le venin est trop fort. Et si j’ai tort, apportez-moi la preuve !