@jesuisunhommelibre
Puisqu’il semble qu’ici on apprécie le mot juste, je suppose que vous parlez de prémisses, mais n’en soyez pas marri : à la lecture - souvent pénible - des nombreux commentaires, vous n’êtes certes pas le seul dans l’arène à nous exposer les prémices de vos aptitudes réflectives...
Et si je m’autorise ce commentaire quant à la forme, c’est que je n’ose en aborder le fond, tellement je me sens coupable de ne pas pleurer avec les gros salaires victimes du surendettement.
Pardon.