Question sous-jacente :
Y a-t-il des facteurs endogènes (internes à un organisme particulier) qui font que l’acte vaccinal peut s’avérer plus néfaste qu’utile pour certains organismes et/ou corrélés à d’autres facteurs exogènes ?
L’acte vaccinale doit-il se définir par rapport à l’incertitude que l’on a de ses effets sur un organisme particulier dans un contexte développemental particulier, ou par rapport aux conclusions statistiques des modèles épidémiologiques en vigueur ?
Qu’est-ce qui peut faire médiation entre ces deux approches ?