Merci à l’auteur de ce contrechant tout à fait justifié.
On aimerait lire dans le Monde, qui possède la dernière Société de Rédacteurs, une même info pugnace et courageuse...
Mais peut-être la fin de Colombani annonce-t-elle un Monde qui va retrouver l’esprit Beuve : le courage au service de l’intelligence. J’en doute tant qu’il ne sera pas révolutionné en écartant Minc et en se libérant de la tyrannie marchande qui tient ses leviers essentiels.