l’on peut considérer également que la passivité du citoyen peut souvent résulter du manque de connaissance relative à un sujet distinct : il peut effectivement se réveler difficile de s’intéresser à un sujet aussi complexe que la crise du programme nucléaire iranien lorsque que l’on ne dispose pas des bases nécessaires tant sur un plan historique, technique... Ce ne sont certe pas les reportages succincts diffusé par les médias de grande audience qui arrangeront l’affaire, surtout lorsqu’ils sont camouflé dans un nuage de faits divers...