C’est aussi mon avis, mais le cas me paraît intéressant. De la même façon, je ne crois guère Georges Kersaudy (l’auteur de « Langues sans frontières », éd. Autrement, dans lequel il présente et décrit 29 langues de l’Europe, y compris l’espéranto), qui a été amené à parler, traduire et écrire une cinquantaine de langues, dont l’espéranto, qu’il avait appris durant son adloescence.