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En réponse à :


claude claude 3 août 2007 15:28

@ dom, ju , et autres tenants du « on nous cache tout, on nous dit rien »...

j’ai fait une réponse argumentée sur l’autre fil, et je ne vais pas me la retaper.

donc, je fait un copié/collé et pour activer les liens voir sur : http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=26980#commentaire1468416

mais, pour les avions, vous devriez vérifier vos sources : pour clarifier les choses, je n’ai pris que les caractéristiques des appareils de « base »

http://www.aeroweb-fr.net/appareils/fiche,229,boeing-707.php :Caractéristiques du Boeing 707-320 Equipage : 2 pilotes + équipage commercial Envergure : 44,42 m Longueur : 46,61 m Hauteur : 16,83 m Surface alaire : 361,63 m² Masse à vide : 80 000 kg Masse maximale au décollage : 151 300 kg Distance franchissable : 5 354 nm (environ 9 915 km) Vitesse de croisière : 513 noeuds - Mach 0.87 (environ 950 km/h) Plafond opérationnel : 37 100 ft (environ 11 300 m) Motorisation : 4 réacteurs Pratt & Whitney JT3D-74 de 6820 kg de poussée Capacité : 189 passagers

http://www.aeroweb-fr.net/appareils/fiche,33,boeing-747.php Caractéristiques du Boeing 747 : Envergure : 64.94 m Longueur : 70.67 m Hauteur : 19.09 m Surface alaire : 541.16 m² Masse à vide : 164000 à 181000 kg Masse maximum : 396900 kg Charge utile : 75000 kg (112000 kg en version cargo) Capacité : 416-523 passagers Distance franchissable : 7300 nm (environ 13500 km) Plafond : 45000 pieds (environ 13500 m) Vitesse de croisière : Mach 0.85 (environ 900 km/h) Vitesse maximale : 507 nœuds (environ 940 km/h) Moteurs : 4 réacteurs Pratt & Whitney PW4062 ou Rolls-Royce RB211-524H2T ou General Electric CF6-80C2B5F

http://www.aeroweb-fr.net/appareils/fiche,35,boeing-767.php Caractéristiques du Boeing 767 : Envergure : 51.90 m Longueur : 61.40 m Hauteur : 16.90 m Surface alaire : 310 m² Masse à vide : 103830 kg Masse maximum : 204120 kg Capacité : 245-375 passagers Distance franchissable : 5630 nm (environ 10440 km) Plafond : 44000 pieds (environ 13200 m) Vitesse de croisière : 460 nœuds (environ 850 km/h) Vitesse maximale : 485 nœuds (environ 900 km/h) Moteurs : 2 réacteurs Pratt & Whitney PW4000 ou General Electric CF6-80C2

> Les services secrets américains auraient tenté d’introduire des explosifs au G8 de Heiligendamm par claude (IP:xxx.x18.202.1) le 2 août 2007 à 13H28 @ marco et à stephanesh

bonjour,

marco, merci pour votre mot, mais vous êtes bien un mec !smiley pas du tout le sens pratique : vos twin tower, il y avait des bureaux dedans, meublés avec du bois, des tapis, des écrans cathodiques, plastiques et autres combustibles dont les flammes sont friandes.

et les personnes qui y travaillaient, mangeaient : donc il devait avoir des restaurants ou des cuisines dans les étages et les bureaux : il fallait donc acheminer à chaque étage : eau, gaz, électricité, chauffage et les évacuer...

l’effondrement des tours peuvent être dû à l’additions de plusieurs facteurs : avions trop lourds, trop de structures emportées, incendies multiple et phénomènes liés à la chaleur, gravité, usure des structures... voici quelques éléménts que j’ai recueillis, car je ne crois pas à la thèse du complot. de la déinsformation qui en a suivi, certes, puisque le WT7 abritait des agences américaines...

mais la destruction des tours n’est liée qu’à la logique de la gravité.

je ne sais pas s’il y avait vraiment du gaz pour la cuisine, mais on ne connait pas toutes les réactions que peuvent provoquer les grosses températures : les « backdraft » : Il s’agit d’une explosion de fumées. Ce phénomène se produit lorsqu’un feu se déclenche dans un milieu clos (comme par exemple un appartement avec portes et fenêtres fermées) :http://pompier.sebien.com/sp78... .http://www.flashover.fr/ ;http ://www.wideo.fr/player/?cs... ;

en consultant les divers articles sur les twin tower, il est dit :http://fr.wikipedia.org/wiki/W...
- «  »« Cette conception, qui date des années 1960, était bien adaptée pour des tours très hautes. Les tours jumelles avaient aussi été réalisées avec des coefficients de sécurité tels qu’ils permettaient, selon les concepteurs, de résister à l’impact d’un Boeing 707 ou un C8 en pleine charge, lancé à 950 km/h : « ...une telle collision résulterait seulement en dégâts locaux ne pouvant causer l’effondrement ou des dommages conséquents à l’immeuble et ne mettrait en danger ni la vie ni la sécurité des occupants hors de la proximité immédiate de l’impact »[46]. Frank Demartini, qui dirigea le chantier de construction du WTC avait ajouté que : « ...le bâtiment pouvait probablement soutenir de multiples impacts d’avions » bien que des experts lors du procès de l’attentat du 26 février 1993 aient déclaré que contre des Boeing 767 cela serait inefficace[47]. »«  »

bon, après je suis allée voir combien pesaient ces oiseaux là :
- un 707 pèse 50 tonnes à vide et 116 tonnes maxi au décollage :http://www.aeroweb-fr.net/appa...
- un 747, (on change de cour) : à vide : 164 à 181 tonnes et 397 maxi au décollage :http://www.aeroweb-fr.net/appa...
- un 767 : à vide : 104 tonnes et 204 maxi au décollage. :http://www.aeroweb-fr.net/appa...

voir aussi les fiches wikipédia :http://fr.wikipedia.org/wiki/B... ;http://fr.wikipedia.org/wiki/B... ;http://fr.wikipedia.org/wiki/B...

les 3 modèles emportent à peu près la même quantité de carburant : autour des 90 tonnes.

sur le poids maxi de charge, on est pratiquement du simple au double entre le 707 et le 747/767, donc l’énergie cinétique emmagasinée est d’autant plus importante...

concernant l’effondrement des tours, à côté de l’hypothèse du Professeur de Physique Stevens Jones à laquelle je ne crois pas du tout (à cause de l’importance des explosifs à mettre en place, et surtout du cablâge à effectuer, le tout sans éveiller les soupçons des services de sécurité et des pompiers de la tour ? ? ?il faut être vachement fort !!!) donc, concernant cet effondrement, j’ai quelques solutions d’architectes à vous proposer :

http://www.sat-net.com/spnews/... «  »"La dynamique de l’effondrement des Twin Towers par Jean Etienne

19 septembre 2001

Bien que l’effondrement des tours jumelles du World Trade Center de New York le 11 septembre dernier ait été provoqué en tout premier lieu par l’écrasement des deux Boeing pilotés par des terroristes, celui-ci n’aurait pu se produire sans l’action d’une force omniprésente dans la nature : la gravité.(...)

« C’est la force de la gravitation qui a finalement vaincu la résistance de la structure », déclare Jon Magnusson, ingénieur et directeur du Skilling Ward Magnusson Barkshire, une firme de Seattle (Etat de Washington), spécialisée dans l’architecture des tours et constructions en hauteur. « Lorsque les derniers niveaux ont commencé à s’effondrer, ils ont brutalement pesé sur les niveaux directement inférieurs, ajoutant la force de l’impact à leur propre poids. Il s’en est suivi une véritable réaction en chaîne, dans laquelle non seulement le poids, mais aussi la vitesse augmentait rapidement. Aucune structure ne pouvait résister à cela, aussi robuste soit-elle. Mais c’est le feu, » ajoute-t-il, « qui a permis à la gravité de finalement l’emporter contre la résistance intrinsèque des deux tours. »

Frank Moscatelli, professeur de physique au Swarthmore College de Pennsylvanie, a calculé la quantité d’énergie dégagée lors de l’impact avec les deux avions de ligne, en tenant compte de leur masse (leurs réservoirs étaient remplis de carburant), de leur vitesse et de la masse des constructions.

« Les avions ont détruit instantanément 20 étages de chaque tour », déclare Moscatelli. « La force de gravitation a fait le reste. »

« Dès que les étages supérieurs ont commencé à tomber, ils ont rapidement gagné en vitesse. Chaque niveau emporté dans la chute augmente le poids de l’ensemble entraîné en chute libre, et la vitesse augmente rapidement et énormément », ajoute-t-il.

« Mathématiquement », annonce Moscatelli, « la vitesse de chute est proportionnelle à la hauteur de la construction et augmente en fonction de la constante de l’accélération de la gravitation (9,81 m/seconde, NDLR). » Suivant les calculs du physicien, la quantité d’énergie dégagée lors des effondrements se situait entre 1/20ème et 1/50ème de la bombe d’Hiroshima.(...)

Secousse sismique

Lors de leur effondrement, les deux tours ont provoqué un tremblement de terre de magnitude 2,1 et 2,3 sur l’échelle de Richter, ainsi que l’ont mesuré les sismographes installés à Palissades, à 31 km au nord de Manhattan. (...)

Dans le cas d’une secousse sismique naturelle, cette valeur reste faible et ne peut être ressentie par un être humain. L’épicentre est généralement situé à plusieurs dizaines de kilomètres sous la surface et l’énergie dégagée amortie et dissipée par la distance. Mais lors de l’effondrement des tours, l’énergie était concentrée dans une très petite région, et il est remarquable qu’elle ait rayonné sous la forme d’une onde de choc tout autour du lieu sinistré.

Cette violente secousse a largement contribué non seulement à la destruction des Twin Towers, mais aussi à la fragilisation des immeubles voisins et au soulèvement d’un abondant nuage de débris et de poussières.

Plus étonnant, l’impact des deux avions a également provoqué une secousse sismique enregistrée à Palissades sous une magnitude de 0,7 et 0,9.(...)«  »«  »

http://www.lexpress.fr/info/mo... L’Express du 20/09/2001 Twin Towers Deux géantes au cœur d’argilepar Bruno D Cot, Michèle Leloup

«  »" « La structure du building était d’une conception remarquable, confie à L’Express, John Schuring, professeur d’ingénierie civile à l’Institut de technologie du New Jersey. S’il n’y avait eu que le choc, je pense qu’aujourd’hui encore la tour serait en place. »

Mais il y eut aussi l’incendie après l’explosion de cette véritable bombe volante - un engin d’une centaine de tonnes, gorgé pour moitié de carburant. Au-dessus du 92e étage, le feu est impossible à circonscrire. (...)

Aucun ouvrage n’aurait pu résister à cet attentat

Les Twin Towers, conçues par l’architecte Minoru Yamasaki, n’étaient pas des monuments comme les autres. Symbole de Manhattan, elles furent également, à la fin des années 60, une prouesse architecturale, fleuron du savoir-faire américain. Au centre de la structure : un « tube », composé de poutres en acier et de béton allégé, où étaient logés les ascenseurs et les escaliers de secours. C’était la « colonne vertébrale » du bâtiment. L’enveloppe extérieure était, quant à elle, dépourvue d’une lourde maçonnerie, avec une simple ossature de colonnes métalliques et une façade en verre. Entre les deux, un réseau de poutres supportait des plaques de béton formant ainsi les planchers. « Cette technique a été depuis maintes fois éprouvée, précise Francis Kern, professeur au Conservatoire national des arts et métiers. Elle constitue pourtant une véritable différence culturelle dans l’art de la construction : l’Europe privilégie le béton, les Etats-Unis, par souci esthétique, préfèrent l’acier. » Ce métal permet d’alléger l’édifice et de gagner de la surface au sol. En revanche, il est réputé moins résistant que le béton aux hautes températures bien que toutes les structures métalliques soient entourées d’une gaine protectrice longtemps en amiante (maintenant remplacée par de la fibre de roche). Une supériorité largement éprouvée par Jean-Marc Jaeger, ingénieur au Setec, un bureau d’études qui a travaillé à l’expertise de l’incendie du tunnel sous la Manche (novembre 1996) : « Nos études ont montré qu’après onze heures d’incendie à 1 000 degrés Celsius le béton est rogné de seulement 20 centimètres. Ce qui en fait le matériau de construction le plus résistant au feu. »

Cependant, dans le cas du World Trade Center, les experts sont unanimes : aucun ouvrage n’aurait pu résister à pareil attentat. La technologie permet de tester les projets de grandes tours en soufflerie, à l’état de maquette, ou d’éprouver la flexibilité de leurs structures par modélisation, informatique. De même les constructions doivent respecter des normes très strictes pour prévenir les bourrasques de vent, les ouragans ou les séismes... « Mais, par définition, il est impossible de se prémunir d’un acte de guerre », se désole Paul Andreu, architecte qui a notamment bâti la Grande Arche de la Défense.

Comment alors les Twin Towers ont-elles implosé verticalement et ne se sont pas couchées sur le côté, à l’image d’un arbre abattu ? « La violence de l’explosion a provoqué un effet de souffle qui, aussitôt, a porté la température entre 500 et 1 000 degrés », analyse Jean-Paul Viguier, l’un des rares architectes français à construire ce type d’ouvrages. Rapidement, les flammes ont déformé l’ossature en acier, qui a fini par se plier comme un vulgaire plastique. A cela s’est ajouté un effet mécanique, dit de levier : le choc provoqué par des avions de ligne lancés à plus de 500 kilomètres à l’heure a désolidarisé les structures en hauteur et endommagé les fondations au niveau du sous-sol. « De plus, ajoute Marc Mimram, ingénieur des ponts et chaussées, les réacteurs des appareils ont sans doute décapité le noyau central des Twins, qui n’a pas pu jouer son rôle d’amortisseur. » Une conjonction de facteurs qui a provoqué l’écroulement fatal. « L’impact ayant eu lieu au 92e étage, il restait 18 paliers au-dessus, pesant chacun 2 500 tonnes, reprend Marc Mimram. L’ensemble devait donc friser les 45 000 tonnes, soit six fois la tour Eiffel. » Soumises à pareil poids, les structures de soutènement léchées par les flammes n’ont pas pu tenir longtemps. La pression a été verticale, provoquant un effondrement brutal des tours sur leur propre assise, tels des châteaux de cartes. L’onde de choc a fragilisé les bâtiments alentour

En quelques secondes, 200 000 tonnes d’acier, 325 000 mètres cubes de béton armé, 43 600 fenêtres (soit une surface de 55 700 mètres carrés de verre) ont dégringolé sur les trottoirs de Manhattan. Provoquant une gigantesque onde de choc mesurée avec une intensité de 2,4 sur l’échelle de Richter par les sismographes de l’université Columbia. Comme pour un séisme, elle s’est alors propagée à travers une partie de New York, fragilisant les fondations des bâtiments alentour. Ainsi, d’autres immeubles du World Trade Center se sont effondrés ou menacent encore de le faire. « Le voisinage immédiat autour des tours est en danger, mais pas le reste de Manhattan, qui repose sur une roche de schiste,(...)«  »"

http://www.otua.org/expert_bat...
- http://www.lemoniteur-expert.c... ;
http://www.batiweb.com/news/a....
http://polyrama.epfl.ch/art_P1...

pour terminer, j’ai trouvé une autre théorie du complot : : -))http://ddata.over-blog.com/xxx...

j’ai fini ! bonne journée !!!


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