N’y a-t-il pas un avantage à proposer une alternative à la médicalisation : la (re- ?)formation des sage-femmes aux autres techniques de soulagement de la douleur que l’analgésie péridurale ?
Ce qui pourrait permettre à toutes ces femmes qui n’ont pas envie, pas le droit ou pour lesquelles l’analgésie ne marche pas de pouvoir vivre aussi un bel accouchement...