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En réponse à :


flo.med 8 août 2007 00:48

Meme si l’auteur a fait quelques fautes dans cet article (déja relevées auparavant), je suis entierement d’accord avec l’idée principale comme quoi l’amélioration d’un gene modifie un équilibre et donc a des effets decondaires.

Par exemple : La drépanocytose est une maladie génétique récessive qui touche les globules rouges(il faut que la maladie soit inscrite en double exemplaire dans le code génétique pour s’exprimer). Cette maladie touche les populations noires surtout. Les personnes qui sont hétérozygotes (elles ont une seule copie de la maladie dans le code génétique) ne sont donc pas malades, mais il y a une probabilité de transmettre la maladie. Ces personnes « porteurs sains » sont protégés contre le paludisme !

Conclusion : A l’envers, ca donne : une mutation génétique a apporté aux personnes qui la portent une protection contre le paludisme, mais si 2 personnes porteurs de cette « protection » ont un enfant, il a 25% de porbabilité pour leur enfant d’être gravement malade.

Effectivement un organisme naturellement modifiés (nous !) a engendré une amélioration mais aussi des « effets secondaires » graves.

Petit apparté : on comprends ainsi facilement pourquoi la drépanocytose touche les populations noires surtout...

Dans le futur, peut etre que la thérapie génique nous protégera contre le SIDA (certaines personnes y sont déja naturellement résistantes), jusqu’a ce qu’on découvre les effets secondaires....

Sinon, selon mon professeur de génétique (je suis en médecine), le gène de l’homosexualité n’existe pas !!!


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