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ddacoudre ddacoudre 16 août 2007 00:47

Bonjour. Je ne connais pas le mouvement dont tu dénonces les crimes, mais ce que je sais, c’est que la « nature » à doté l’humain d’un cerveau malléable qui lui donne la possibilité par l’apprentissage de s’adapter au pression de l’environnement, y comprit quand son propre développement socio culturel devient un élément de pression de son environnement.

Bien sur l’action de l’environnement sur l’être peu induire des situations critiques de nature à altérer plus ou moins durablement ses facultés, par exemple la famine, mais aussi comme tu le dénonces un espèce de permanant endoctrinement culturel autour de la normalité défini, non comme un comportement inné incontournable, mais comme l’acceptation par la majorité de règles sociétales pratiqué par le plus grand nombre qu’elle impose à sa progéniture qu’imparfaitement, ce qui laisse cours à d’autres pratiques, d’autre concepts qui ont pris racine dans cette culture majoritaire imparfaitement.

Ainsi dont comme tu l’indiques quand c’est l’homme qui organise l’enseignement ou l’endoctrinement suivant les situations et des moyens techniques en sa possession on y trouve des comportements pouvant devenir « criminogènes ».

Aussi je pense que pour ce prémunir de cela il n’y a pas de recette miracle qui donnerai une bonne société, nous le voyons avec les religions et les philosophies qui s’y essayent depuis des millénaires, « la nature » n’est pas assujettie à notre langage, et nous n’en connaissons qu’une infime partie qui nous est accessible par nos sens.

Toute fois dans le domaine des libertés, il conviendrait mieux de parler des devoirs qu’ont les hommes les uns envers les autres pour se garantir ce qui constitue l’essence de leur existence : agir pour s’épanouir avec toutes les aptitudes et créations du cerveau humain ou de son Être. Mais cela n’est possible qu’après un long apprentissage de la maîtrise de la « sélection naturelle » faite de « sage liberté » et « d’esclaves passions » posées par les stoïciens. Cette maîtrise nécessite d’acquérir une capacité transgressive de jugement dans la construction de la normalisation de sa personnalité, avec comme ultime rempart son « for intérieur » (conscience) pour ne pas faire aux autres ce que l’on n’aimerait pas qu’ils nous fassent.

Cordialement.


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