En Italie, les élus se votent des salaires élevés pour officielement les protéger des sirènes de la corruption et officieusement afficher la base des enchères entre Camora, Cosa Nostra et ’Ndrangheta.
En France, l’élu reçoit un salaire de misère mais a le droit de faire sponsoriser ses vacances pour peu qu’il trouve de gentils mécènes.
Aux US, c’est bien connu, la candidature à la présidence est interdite aux non-millionnaires. Le Président ne touche pas à proprement parler un salaire mais une somme correspondant au green fee du 1600 Pennsylvania Avenue.