A l’évidence on pourrait se demander pourquoi le British Museum, fleuron de la capiale de l’ultra-libéralisme, est gratuit d’entrée, facile d’accès, même aux pires alertes anti-terroristes, alors que pour le Louvre on est canalisé comme pour visiter la crypte d’un illustre défunt (c’est ça la Pyramide ?) avant de s’acquitter d’un droit d’entrée aux exonérations ubuesques (pourquoi les bibliothécaires, les employés de certaines grandes sociétés mécènes sont-ils exonérés mais plus les enseignants, par ex. ?).
Toujours cette obsession de rendre ’rentable’ une institution qui devrait justement être un service public. Comme l’éducation. Puisqu’il s’agit bien d’éduquer par les Arts.