@ Yves Rosenbaum
En effet, monsieur Greenspan est contesté. Autant il était respecté lorsqu’il occupait la présidence de la Réserve fédérale, autant aujourd’hui on analyse les conséquences fâcheuses de sa gestion dans le secteur immobilier, notamment. C’est remarquable, aux États-Unis : au cours de leur règne, les hauts fonctionnaires s’abstiennent de toute critique du gouvernement, et, une fois libéré, ou à la retraite, ils s’en donnent à cœur joie dans des mémoires qui font le régal des médias.
Pierre R.