« 1 - la dette a commencé d’exploser le jour où les Etats ont abandonné le droit de création monétaire pour s’obliger à emprunter sur le marché financier. »
Ah, comme vous avez raison, la bonne vieille planche à billets, y’a qu’ça d’vrai ! Moi, quand j’ai fait construire mon hôtel particulier de 366 chambres avec une piscine chauffée par chambre, j’avais justement une bonne planche à billets (comme mon pseudonyme l’indique) si bien que je n’ai pas eu à emprunter, ni bien sûr à rembourser. Ça a été tout bénéfice.
« 2 - Le déficit public est chaque année quasiment équivalent aux intérêts de la dette (dont 40% sont d’ailleurs payés à des français) : Il n’y aurait pas de déficit s’il n’y avait pas d’intérêts. »
Attention, là, cher monsieur Holbecq, vous risquez faire le jeu ceux qui vous opposeront « s’il n’y avait pas de dette il n’y aurait pas d’intérêts, et donc pas de déficit non plus. » Or, il ne faut pas faire le jeux de ces gens-là car ce sont des menteurs et des malhonnêtes, nous somme bien d’accord là-dessus !