J’espère qu’il aura bien été perçu, dans mes propos, que je n’errige pas le monde de la mode comme LE responsable du développement de l’anorexie.
Je me contente d’épingler l’hypocrisie avec laquelle les grands couturiers abordent le sujet , et cette espèce de détachement insupportable vis à vis de pratiques qu’ils s’évertuent de minimiser dans le meilleur des cas, et de carrément nier dans le pire.
Je partage votre analyse, Lounina, et je me rapproche de votre conclusion sur l’impact des clichés de Toscani.
Il eût été effectivement bien plus rationnel d’immortaliser les malades en souffrance...