Bien sûr, Paris Match se trouve souvent chez les médecins et les dentistes qui l’achètent et qu’ils déduisent de leurs impôts, mais ce n’est pas le cas de « Voici » ou de « Closer ».
Quand on voit les chiffres de vente de l’ensemble de cette presse-là, on est bien au-delà des salles d’attente.