Ah les subventions !
Subentionner les associations caritatives, donc les pauvres, donc les chômeurs, donc les feignants, donc les associaux, donc les anarchistes, est insupportable pour cet exemple de rigueur morale et d’honnêteté, l’ancien avocat de Chirac, Monsieur Devedjan.
Subventionner les entreprises, donc les entrepreneurs, donc les actionnaires, donc les preneurs de risques, donc les forces vives, qui ont tous tellement besoin de secours, reste un devoir sacré pour cet homme précieux à plus d’un titre, fin, cultivé, ouvert quoique parfois trivial : N’a t-il pas récemment traité de « salope » une opposante politique ?