Ces changements de pacotilles ne changeront rien. Cela reste de l’habillage, de la forme, et ça surfe sur la très hype vague des microtrotoires et du « tous les gens sont des journalistes » sur lequel le canard est le premier à vomir lorsqu’il s’agit de TF1 (à raison d’ailleurs).
Le fond du journal s’adresse à des travailleurs travailleuses qui ont d’autres chats à fouetter et 1000 autres moyens plus utiles de dépenser leurs quelques deniers. Il est là le problème.
Seule solutoin : faire distribuer le journal gratos à l’entrée des métros (et encore, contre 20 minutes, métro et consoeur c’est pas gagné...).