Merci d’avoir saisi le soucis premier de cet article : tenter l’application de la raison à une problématique astrologique sans chercher à porter un jugement de valeur... Quelques remarques toutefois : mon approche n’est pas particulièrement scientifique, elle est seulement technique, il n’y a pas lieu d’opposer ici science et astrologie, mais à la rigueur raison et astrologie, ce qui est un autre problème. Ensuite, si les Egyptiens avaient « corrigé » la précession des équinoxes, alors les Mésopotamiens et les Grecs l’avaient oublié jusqu’à Hipparque, n’est-ce pas bizzarre ? Cordialement.