Un ami élu municipal d’un quartier chaud de Lyon me racontait une anecdote. C’était à l’époque de la mise en place du RMI et ce politicien pragmatique n’hésitait pas à racoler les « artistes » de son arrondissement pour sa cause électorale.
Une de ces dames (pas vraiment la catégorie luxe) lui racontait comment, avec la mise en place du RMI, elles avaient vu arriver une clientèle nouvelle qui venait convertir sa prestation sociale en prestation tarifée !
Je promets une belle carrière au premier politicien qui pensera à garantir des minima sexuels... Quant à la mise en œuvre, euh, des bons d’achat dans des maisons closes ?