Dans l’opacité du Politique et de la Finance, dans le LABYRINTHE de la « concurrence libre et non faussée », que reste-t-il à l’être humain, hormis sa propre transparence, (ici celle insupportable de l’image de l’anorexie) à offrir en pâture aux vautours ?
Ce que vous dénoncez est éminemment pertinent... Encore faudrait-il que le « public » dans son ensemble y soit sensible ! Les médias traditionnels ne sont pas près de publier ce type d’analyse, hélas !