Je trouve l’article d’autant plus pertinent qu’il utilise le vocabulaire courant du jeu de rôle, à l’extrême même puisque le moteur de jeu des productions White Wolf se nomme... « Storyteller system ». Epatant, non ?
Le parallèle est amusant, car, rôlistiquement, qu’est-ce qu’un Maître de Jeu, sinon un acteur qui use d’artifices discrets afin de manipuler les joueurs ? (à mettre en rapport avec nos Storytellers politiques).
A dire vrai, il y a un autre type de MJ (dont je fais partie) : celui qui joue en improvisation totale. Là encore, ça ne vous rappelle aucun membre du gouvernement ?
Foutredieu, la France est devenue un immense JdR à 60 millions de joueurs dont le MJ n’a aucune prise sur l’univers...