La flamandisation de Bxl est définitivement impossible, de par la simple réalité du terrain ( trop international ). Les Flamands l’ont d’ailleurs tenté de diverses manières depuis 15 ans ( par l’immobilier, notamment ). Echec total. Ils ont abandonné. Le nombre de Flamands bxlois a même diminué. C’est l’anglais qui devient la 2e langue sur le terrain.