Quand on voit qu’à présent, au Liban, tout le monde se tourne vers Nasrallah Sfeir, le plus haut responsable religieux maronites, pour régler le problème de l’élection présidentielle, on peut penser que la religion est loin d’avoir terminer son oeuvre.
Ceci dit, Sfeir n’est pas un mauvais bougre. On aurait pu tomber sur pire (avec un autre Nasrallah par exemple).