Du temps de son enfance, ma chère mère dévalait les rues de son village natal dans des caisses en bois dont les « roues » étaient des roulement à billes d’essieux de camion. Les « freins » ? Un tasseau de bois frottant par terre.
J’imagine que si Agoravox avait existé dans les années 40, il y aurait eu des article assassins sur l’irresponsabilité des enfants/parents à les laisser dévaler les pentes. On y aurait plus volontiers fustigé le bruit ou a dégradation des peintures de façaces plutôt que de s’émouvoir de l’absence de casque ou d’assurance, pas franchement d’actualité à l’époque.