Pour revenir à l’article, Si vraiment Yama Rade pensait ce qu’elle a dit au sujet des droits de l’homme et en était vraiment indignée, elle aurait quitté le gouvernement en démissionnant.
Seulement, la plupart des politiciens n’ont aucune conviction éthique personnelle et dès qu’il faut remettre en question des actions discutables, la contestation est vite éteinte et le compromis reprend le dessus, souvent pour des questions budgétaires, ou de carrière personnelle.