La fin de « La Graine et le mulet » est effectivement très belle, avec le courage de ne pas céder au happy end, mais le réalisateur va si loin en submergeant le spectateur, en l’immergeant quasiment de force dans les scènes d’intimité comme celle du repas, que d’aucuns en seront gênés, c’est plus vrai que vrai, plus blanc que blanc... La bonne mesure est dans les scènes entre Slimane et Rym, sa belle-fille. PS. Le cinéma Saint Germain des prés est infiniment plus agréable que l’Arlequin. Pas vu Emmanuel Mouret, qu’il se donne systématiquement le premier rôle de ses films, étant un piètre interprète, ne m’engage pas à y aller...