Cher Jean-Michel, mon seul souhait serait qu’on en vienne enfin à regarder en face ces erreurs inlassablement inculquées pour les corriger.
Elles peuvent l’être du jour au lendemain.
Mais s’il s’agit d’une stratégie de désorientation mûrement réfléchie, on doit s’attendre à des manoeuvres dans le genre de celles que préconise don Fabrizio Salina, un prince sicilien mis en scène dans « Le Guépard » de Giuseppe Tomasi di Lampedusa, porté à l’écran par L. Visconti : « Il faut bien changer un peu pour que rien ne change. »
Paul Villach