A l’image d’un journaliste africain dans un article récent, que dirions nous si une association Tchadienne venait « prélever » quelques dizaines de petits français, puis les « exfiltrer » et les amener au Tchad pour les faire adopter par des famille locales ?
J’imagine la réaction de l’opinion publique, des Nicolas et des Pimprenelles. Hors vu depuis la France, cela semble presque normal. Sauvons l’Afrique. On se croirait revenu à l’époque des missionaires évangéliseurs. A se demander combien se sont compromis dans cette misérable affaire.
En tout cas, il est hors de question comme vous le précisez de faire peser sur l’ensemble des Français le poids de l’expurgation de la faute en les faisant payer. Pourquoi ne pas faire payer les commanditaires (les familles d’accueil), les complices et les malfaiteurs (Zoe) ?
A force de vouloir le bien on finit par commettre l’irréparable et l’inexcusable. Au bagne les malfrats.