J’ai bien aimé l’article. Les latinos résument trés bien cela en deux mots « y qué ? ». Le ministre accusé de corruption répond ainsi « et alors ? » montrant qu’il ne fait que quelque chose de trés normal et que de toute manière c’est lui qui tient le fouet et pas l’autre.
Il semble qu’on s’oriente vers un simple rapport de forces, la seule différence avec d’autres époques étant qu’on le fait en toute transparence.