Un peu hors sujet (mais c’est passionnant de lire cette colonne) :
J’ai connu des sourds qui n’avaient pas voulu aprendre le language des signes, préférant apprendre à parler/lire les lèvres, sans doute pour rester intégrés à leur milieu social.
Conséquence, ce n’est qu’avec la venue des enfants et de la frustration à communiquer qu’ils s’y sont mis.
Bref, quand je vois les difficultés rencontrées par l’enseignement du langage des signes (interdit en France jusqu’aux années 90) alors que son utilité est si difficilement discutable, je ne m’étonne pas des difficultés que rencontre l’esperanto dans la société.