Cette puissance est un formidable moteur de progrès et une démocratisation du savoir
Ou bien engendre une telle dispersion de superficialité de savoir qui fait que l’on perd un gigantesque temps de site en site, d’info non vérifées en info non vérifiées, en verbiages, en confusion, en contradiction ... que ce que l’on imagine être du savoir n’est in fine qu’un bouillon d’informations sans ordre, ni cohésion que l’on arrive plus à traiter ni rigoureusement ni rationnellement !
Cette déferlente d’informations tout azimut, zapée, non assimilée, produit de la confusion mais sûrement pas du savoir. Par contre, c’est indéniable, elle donne le moyen d’une intercommunication plus rapide et l’accès facilité à une forme d’information, mais une seulement parmi tant d’autres alors qu’elle semble par effet de mode devenir unique et prioritaire ... Mais ce n’est pas le savoir !