L’article est agréable à lire mais on a un peu l’impression de feuilleter le catalogue saphique de la littérature féminine... La démonstration, c’est qu’ elles auraient donc été plus libres, plus créatives que leurs homologues hérosexuelles ? Ca marche comme ça ? Les soeurs Bronté, au contraire, puisaient leur inspiration dans l’ascétisme...