• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


En réponse à :


bourgpat 25 janvier 2008 22:47

Oui il y a une certaine parano.


Pour qu’il y ait contamination croisée il faut qu’une de personnes de ce groupe au minimum soit porteuse d’une maladie virale ou bacterienne. Or un groupe de collégien n’est pas parmi les groupes les plus à risque normalement. Après même avec une personnes contaminée cela serait variable en fonction de l’exposition qui est variables selon les pathogènes. La quantité de pathogene peut varier aussi en fonction de la forme de l’objet qui créée la brèche. On parle souvent du fait qu’un lame de bistouris est "nettoyée" lors de la traversée de la peau un peu comme lorsqu’elle traverse un gant en latex.

Pour un objet creux par contre il n’y a pas cet effet de nettoyage car une partie de la surface est protégée de même qu’elle est protegée contre la désinfection .


Les règles à l’hôpital où dans un cabinet médical se basent sur un risque surévalué en partie. Tout patient est un porteur à risque. Cela permet de limiter les risques en maintenant la vigilance et de maintenir les habitudes d’hygienne. Ici le risque de contamination n’est plus face à une menace théorique de tous malades mais peut être définit simplement par l’état sérologiques des participants.


Globalement il est sûr que l’hygienne aurait put être améliorée. Et il est bizarre que ce soit un prof de biologie ceux ci etant normalement en charge des cours sur les maladies sexuellement transmissibles. Ils devraient plus qu’au qu’un autre être sensibilisés aux risques.


Pour les produits de désinfections, il est simple de connaitre les classe de produits (bactericide, bacteriostatiques et virucide) ainsi que les temps de contact pour avoir une efficacité.

L’alcool, n’est pas le meilleur


Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page

Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.


FAIRE UN DON


Palmarès