Ce qui est sûr, c’est que je n’ai jamais vu autant de délires sur aucun autre sujet. L’autre fois, j’ai discuté sérieusement, le résultat était effarant d’absurdités. On croirait vraiment discuter avec des fous de l’asile.
Conclusion : face à un événement émotionnellement fort et traumatisant, le cerveau humain peut particulièrement perdre les pédales. Du moins chez certains.
Affligeant.