On regrette Coluche et Thierry Le Luron, car l’humour n’est accepté que lorsqu’il est exempt de lourdeur.
Et avec Mabille, côté légéreté, on repassera : il était plus fin lorsqu’il inspirait Thierry. Mais c’était il y a plus de vingt ans.
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.