Merci de nous avoir fait vivre les péripéties de la Joconde.
Ce qui m’épatera toujours c’est la résistance de ce tableau pourtant si fragile. Léonard lui-même l’emmenait déjà partout. Jamais satisfait, il a mis très longtemps à l’achever et l’emportait donc avec lui lorsqu’il changeait de ville (Milan, Florence, Cloux).