Merci Gurul, vous effacez presque vos prestations antérieures en reconnaissant à notre guyanais le plus célèbre que le monde n’est qu’un. Avec Salvador, c’est une part de l’anti-racisme qui disparaît aussi. Il le savait, étant très sensible sur le sujet. Comme vous le signalez, je ne ferais jamais de nécrologie larmoyante : Salvador était la joie de vivre, il trouverait INDECENT qu’on le pleure. Et puis de toute façons, il n’est pas mort : on a assez de titres de lui pour le faire vivre... éternellement ! Henri Salvador, qui savait toucher les enfants, était extrémement ...touchant !