Fi donc messieurs, j’apporte ma flamberge, et mon espadon, et je vous prends tous en duel sur le pré, à l’aube qui agrémente de rosée la cire qui cachète les facons de ces vins bien plus fameux au palais que sont Brouilly, Chiroubles, Juliénas et Morgon pour les beaujolais, Pouilly-Fuyssé, Saint-Véran, Viré-Clessé, Chablis, Macon-Village (blanc) , Cote-de-Nuits-Village (rouge), Chappelle-Chambertin, Bourgogne Alligoté ou Passe-tout-grain...
Le v-ignoble bord de laid et auitain(1) est surfait, et ce sont des papilles atrophiées qui laissent entendre qu’un repas dans un bouchon - temple de la gastronomie lyonnaise - pourrait être agrémenté d’un autre vin que ceux précités !
En garde donc, et pas de quartier !
(1) Je ne tolère qu’au Juraçon et au Monbazillac le droit de table chez moi...