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Michel J 30 mars 2008 15:03

Bonjour et merci pour cet article fort bien écrit et bien documenté. Tout le problème est de savoir « lorsque le besoin l’emporte sur la conscience ».

Même si vous en avez compris certains principes, dites-moi si je me trompe, mais la lecture de votre texte laisse à penser avec certitude que vous n’avez jamais vécu le type de situation que vous décrivez, du moins dans ses manifestations sévères. Je parle bien sûr du type de situation qui nous conduirait jusqu’au point d’avoir pensé passer à l’acte : soit dans la révolte, soit en songeant à mettre fin à ses jours.

Je suppose que si vous aviez vécu ce cas de figure, vous sauriez que certains des prédateurs que vous décrivez (mais heureusement beaucoup n’en sont pas) n’ont cure des mesures que vous préconisez, ou d’autres quelles qu’elles soient d’ailleurs. La pulsion criminelle étant malheureusement toujours la plus forte chez ceux qui agissent par sadisme et perversion. Sinon ces bourreaux seraient capables de double discerner . Les plus dangereux s’adaptent... Donc aussi loin que vous développerez des contres-mesures aussi loin elles seront « contre-contrées ».

Le seul moyen serait d’étendre le rayonnement du droit pénal, non plus à « l’action directe conduisant à la mort d’autruï » mais aux actions concertées ou non qui ont pu faire aboutir à une issue fatale. Actuellement ce n’est pas l’impunité mais ça aiderait les procédures...

Mais ce n’est que mon opinion.


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