• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


En réponse à :


Mirabelle 19 mars 2008 19:09

J’ai vu recemment une emission sur la 5eme ou Mme Sebire expliquait qu’elle ne voulait pas se suicider car c’etait une valeur qu’elle n’avait pas inculquee a ses enfants, entre autre. Elle decrivait sa souffrance quotidienne, son medecin etait en plateau pour decrire qu’il se sentait enchaine par la loi et le serment d’Hippocrate. Donc si Mme Sebire refuse de se suicider, c’est comme decrit par d’autres precedemment, pour laisser quelqu’un d’autre faire ce qu’elle ne veut pas faire elle-meme. Effectivement en Suisse, nous avons des associations aidant a finir une vie lorsque la souffrance est intolerable, le pronostic defavorable, la maladie incurable... neanmoins, l’inscription dans ces associations, dont Exit, doit se faire suffisament tot avant le geste, pour qu’il y ait une reflexion raisonnee et raisonnable de l’acte. Les medecins assistent a une mort sans souffrance, neanmoins le patient prend lui-meme le cocktail letal.

La Loi est une chose, la pratique en est une autre. Tres souvent, les equipes hospitalieres se reunissent pour arreter des procedures de reanimation ou d’assistance lorsque cela ne sert plus a grand chose ou si le patient va se retrouver dans un etat de legume tres assiste. Dans un certain sens, c’est aussi tuer son patient, et personne ne rale. Cela revele une certaine hypocrisie, la difference etant le cote "actif" de la chose. Alors continuons a adapter la situation en fonction du cas...


Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page

Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.


FAIRE UN DON


Palmarès