C’est assez vrai, mais quelques petites imprécisions.
D’abord, les banques ne sont pas directement exposées aux dépréciations d’actifs, mais à l’insolvabilité sur les prêts concernant ces actifs.
Ensuite, ça ne concerne pas surtout l’immobilier, mais tous les dérivés, quatre fois plus nombreux.
Clinton n’a rien construit de génial. Il n’a fait que poursuivre la tendance au surendettement initiée par Reagan.
Enfin, la monnaie-or n’évite pas les bulles : elle ne l’a pas fait dans le passé. On peut toujours dériver des titres de n’importe quelle monnaie.
A part ça, c’est bien vrai que c’est la merde, mais que c’était prévisible et prévu...