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E-fred E-fred 22 mars 2008 14:20

Bonjour Charles.

Bravo pour votre article. Le document fournit étant en anglais, je ne vais pas essayer d’y chercher trop d’info, mes "traductions" soulevants souvent polémiques auprès de certains "lecteurs", si je puis dire. Je me permet de vous signaler que je tombe sur 404 not found quand je cherche le lien de " résilience dans la défense antiterroriste ". Pouvez vous, si c’est possible, remettre un lien avec ce document dans le fils des commentaires.

Alors, effectivement, pourquoi "certains" attentats font mouche et d’autre Flop ? Par manque de lien entre acteurs de la sécurité ? Le "partage vertical et horizontal d’informations entre tous les services de renseignements et de polices permet très souvent de reconstituer un puzzle terroriste avec justesse et rapidité", mais il y faut de la volonté et de la détermination. Fallait-t-il abattre Human bomb ? Avons -nous les moyens de réagirs toujours à temps et prendre la "meilleure" décision ?

A l’époque des années 70-80, l’IRA, Action directe,Brigades rouges, ETA, avaient le soutien d’une partie de la population. Je me fait souvent la réflexion, alors que ces mouvences terroristes européenne "blanche" ont quasiment disparues, l’émergence d’un "autre" terrorisme. Il faut aussi se rappeller qu’elles étaient les cibles de ces attentats de groupes dit "d’extrême-gauche", alors que , " Dans cette stratégie de la violence, l’extrême droite commettait des attentats à la bombe non-ciblés, à l’aveugle dans des lieux publics faisant beaucoup plus de victimes. On lui impute aujourd’hui 83% des victimes de l’époque. A l’inverse, la stratégie de l’extrême gauche est ciblée : assassinats de responsables politiques, de juges, de policiers et même de journalistes." Ou des groupes qui se disent d’extrème-gauche, comme 17/11 en Grèce : Cependant, on ne reste pas "endormi" pendant cinq ans pour commettre un attentat tel que celui contre l’ambassade américaine, qui visait uniquement à créer un sentiment de malaise. En effet, personne ne se trouvait à l’endroit et à l’heure où a été lancée la roquette. C’est pour cela que le gouvernement envisage la possibilité qu’un groupe étranger ait essayé de faire naître un climat de peur en tirant cette roquette. Une manière, peut-être, d’alerter les Grecs, qui se sentent en général peu concernés par les risques liés au terrorisme. En 2004, les Jeux Olympiques s’étaient déroulées sereinement. L’attentat contre l’ambassade américaine est juste une pomme pourrie" ; Propos recueillis par Bérénice Rocfort-Giovanni (le vendredi 12 janvier 2007). Car je trouve que cet attentat nous montre une chose : les moyens mis en oeuvre et la cible.

Pour ce qui est du renseignement "Le rôle d’une police de proximité est également déterminant : en plus d’être bien formée, celle-ci doit se montrer aussi proche que réconfortante aux yeux des habitants alors plus enclins à lui transmettre quelque activité suspecte", vous tombrez sur le coup de la délation, donc des langues de corbeau (certain se reconnaitrons), distilant savant mélange entre info et ragot, qui , comme on le saît bien , laisse toujours quelque chose (affaire Allègre) pour ne cîter qu’elle, activité qui de par chez nous, en Alsace, est toujours assimilée aux collabos, généralement pas à "gauche". C’est donc en visant l’"efficacité" de l’impact sur les victimes et surtout, à travers les médias et les lieu choisit par le terrorisme actuel. : Impact tactique élevé : 191 morts et plus de 1 500 blessés. Impact opérationnel faible : l’économie, le tourisme et les transports ibériques ne subirent aucune paralysie. A court terme, l’impact stratégique fut énorme  : trois jours après l’attentat, l’avantage électoral d’une droite confortablement établie bascula au profit d’une gauche pourtant donnée moribonde par les sondages. Il le fut beaucoup moins sur le long terme : « habituées » au terrorisme de l’ETA, la société et les institutions espagnoles firent preuve de résilience et continuèrent «  de vivre normalement  ». Il y a un soucis de "retour" sur placement.

Quels sont ces "nouveaux" terroristes ? Il faudrait parler des différents "profil" du terroriste. Le suicidaire, sans profil type, des jeunes du Neuhof (Strasbourg). Tout dépend ce qu’on recherche.

 

 

 


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