@ Sisyphe
Je crois que vous n’avez pas compris ni le cas d’espèce ni mon article.
La victime n’a jamais demandé à être mise à mort.
Vos propos pourraient se concevoir (sans que je les approuve, d’ailleurs) dans un débat sur l’euthanasie, mais ce n’est pas ici ce qui nous retient.
Dans cette affaire, une personne a décidé de tuer une autre personne car elle a décidé unilatéralement que l’intérêt de la victime était de ne plus vivre.
Nous faisons donc face à une affaire où une personne de ce pays a considéré qu’elle disposait d’un droit souvenrain et unilatéral de vie ou de mort sur une autre. Et cette personne a été reconnue innocente. Nous sommes donc bien dans une situation où la peine de mort a été décidée par une personne à l’encontre d’une autre, et appliquée, en toute innocence.
@ Cambronne
Ravi de vous revoir, Cambronne, je ne vous croise plus guère en ces lieux de perdition ! Vos commentaires me manquent.
Icks PEY