Bien que n’ayant pas vu le film, il apparait que l’homme, qui fait de sa réussite son seul objectif et de lui-même le seul objet de sa quête, est perdu d’avance. Son narcissime le détruit inexorablement car il le condamne à la finitude. Au lieu de se projeter dans l’autre et l’Autre, il se réduit à ses limites immédiates et éphémères. On ne peut durer que dans l’amour.