@ debase
"nos traditionnels ’quartiers populaires’ et les récentes ’banlieues à problèmes’
Le rejet médiatique du sous-prolétariat est une constante historique en France.
Ces "traditionnels quartiers populaires" étaient autrefois dénoncés par les droites extrèmes de l’époque comme peuplés de métèques, de levantins suspects, d’arméniens crasseux, de juifs bolcheviques tout juste sortis du ghettos, d’italiens anarchistes joueurs de couteau, etc, etc... Cela n’a guère changé..
De plus, la psychose sécuritaire concernant la criminalité du sous prolétariat ne date pas de l’invention de TF1.
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etc.. etc..
gAZi bORAt